Des heures éternellement féminines
La maîtrise parfaite du geste. La minutie. La patience. Du travail lent et rigoureux, exigeant une concentration de chaque instant. Des centaines d’heures. Parfois même des milliers qui donneront vie à une robe de haute couture ou à une montre de haute horlogerie. Des pièces d’exception façonnées par la main d’artisans passionnés. Deux univers que fait fusionner Vacheron Constantin, donnant vie à l’Egérie, un concentré de sophistication et de féminité.
La montre, qui se décline en trois interprétations - automatique, phase de lune et phase de lune pavée de diamants - se distingue par un délicat jeu de textures et de formes enlacées, des aplats et des reliefs, un plissé qui rappelle celui d’une étoffe et une asymétrie singulière que vient souligner un design aux lignes fluides. Les références à la haute couture s’expriment par le biais d’un cadran à motif plissé, d’une ligne de diamants semblable à une fine ganse qui accentue le galbe du boîtier ou encore de chiffres arabes, festonnés comme une dentelle.
La maison revisi
te également des codes esthétiques qui lui sont chers, auxquels elle donne une fraîcheur contemporaine. C’est le cas, dès le XIXe siècle, des affichages décentrés que propose Vacheron Constantin en jouant notamment sur l’entrelacement de deux cercles. Une référence qui se retrouve sur le modèle Égérie. L’indication de la date ou de la phase de lune s’inscrit dans une diagonale formée par le logo Vacheron Constantin et la couronne qui se pose à 1h30. Selon les modèles, celle-ci est agrémentée d’une pierre de lune en cabochon ou d’un diamant taille rose.
Multiple à l’image des femmes, la montre se présente dans une version automatique en or rose ou acier, facile à porter, ou dans une déclinaison poétique intégrant une phase de lune. Dans un cercle excentré garni de 36 diamants, l’heure est à la rêverie : la lune en or rose apparaît sur un ciel étoilé, derrière des nuages formés par un assemblage de nacre. Beaucoup de charme pour ce modèle au cadran argenté opalin dont le motif plissé est obtenu grâce à la technique ancienne de la tapisserie, qui a nécessité l’utilisation d’une machine datant de 1904, fonctionnant sur le principe d’un pantographe.
L’Egérie révèle aussi toute sa sophistication dans le modèle phase de lune pavé diamants. Le boîtier en or blanc de 37 mm brille sous les feux de 292 diamants et son cadran déploie ses cercles concentriques sous une pluie de 510 diamants, évocation d’une broderie précieuse.
A ces modèles s’ajoute désormais, l’Égérie phase de lune joaillerie, véritable hommage au diamant. La boîte en or blanc de 37mm
blanc est liseré de 246 diamants taille brillant. Le bracelet, souple et fluide, est constellé sur ses cinq rangs de 588 diamants taille brillant et le cadran de la montre est tapissé de 510 diamants également taille brillant. Enfin, des détails comme les chiffres d’une délicatesse rappelant la dentelle et les aiguilles feuilles des heures et des minutes soulignent encore l’élégance extrême de la montre.
